Parce qu'une telle formation n'existe pas en Suisse, c'est en Belgique que notre directrice est allée se former. Sur une période de deux ans plutôt que d'un, Covid oblige.
Changer le récit, dans le domaine des séparations, c'est changer un récit de haine de vengeance, de guerre, où les enfants sont pris en otage, par un récit plus apaisé. De tristesse parce que les fins sont souvent tristes, d'acceptation, de bienveillance envers les enfants et de prise de responsabilités.
Divorcer n'est plus un drame, au niveau sociétal, ce qui peut nous aider à accepter la séparation.
Comments