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  • Photo du rédacteurCoparentalité Responsable

Ni le père ni la mère ne sont une option dans la vie de l'enfant !

On peut critiquer la forme de l'émission dont est tirée la vidéo qui accompagne ce texte, mais il n'en reste pas moins que le fond est là. Et elle a le mérite, si vous vous donnez la peine de la regarder, de démontrer que, pas plus que celui maternel, le rôle paternel n'est ni substituable ni une option.


Autour de nous les exemples foisonnent, qui illustrent des éloignements volontaires du père de la sphère familiale. - A noter qu'il nous semble urgent de modifier la définition de la famille qui, selon nous, devrait s'appliquer aux parents et à leur descendance lorsqu'on parle de famille directe et ne pas inclure le vivre ensemble (alors qu'aujourd'hui celui qui ne vit plus avec ses enfants n'est plus considéré officiellement comme ayant une famille, mais comme personne "seule"). Le MSCR milite pour l'indissolubilité de la famille qui, nous semble-t-il, placerait les parents face à leurs responsabilités et ne permettraient pas les guerres sans fin pour tenter d'invalider le rôle essentiel de l'autre parent. - De plus en plus souvent, nous sommes également confrontés aux éloignements volontaires de la mère de la sphère familiale.


Si, le plus fréquemment, l'aliénation parentale est le fait des mères, il existe également des pères - et des mères - violents et sexuellement abusifs.


Dans la violence interpersonnelle qu'est la lutte de pouvoir pour tenter d'impacter la vie de l'autre, chacun recourt aux armes - car il s'agit réellement de stratégies guerrières - les plus facilement à sa portée. Et donc, bien sûr, la violence physique contre l'autre conjoint est plus souvent commise par des hommes. Les abus sexuels sur femmes et enfants également, hormones obligent (même si ça ne ravit pas les fervents défenseurs du choix de genre, nous faisons partie du règne animal et, à la base, nos comportements sont partiellement influencés par notre physiologie et donc impactés par notre sexe). Quant à la violence psychologique, même si elle se manifeste différemment selon qui la commet, elle n'a pas de sexe. Par ailleurs, des dysfonctionnements dans le comportement n'équivalent pas forcément à des violences commises sur les enfants.


Le Mouvement Suisse pour la Coparentalité Responsable pense urgent et impératif que tous les intervenants concernés par ces situations puissent faire la différence, d'abord en commençant par faire respecter la loi.


C'est pourquoi il soutient le conseiller national Philippe Nantermod dans sa motion pour que la violation du droit de visite soit punie pénalement (ceux qui pensent que c'est par la bienveillance qu'on peut gérer ce genre de situations devraient proposer de gérer également par la bienveillance et les conseils le fait de rouler à 200 km/h sur l'autoroute, le fait de voler ou violer autrui, le fait de contrevenir à toute loi), ce qui, assurément, aboutira un plus grand respect du droit de visite.


Il soutient également le conseiller national Sidney Kamerzin dans son initiative pour favoriser l'attribution de la garde partagée (que nous recommandons de nommer "résidence alternée", afin de l'envisager du point de vue de l'enfant).


(A noter que ces démarches sont uniquement le fait de la droite et d'hommes - qu'est-ce à dire ?)


Et enfin, le MSCR intervient directement auprès des familles concernées, par des conseils et par des interventions auprès des personnes en charge, pour que la parole de l'enfant soit recueillie de manière protocolée, en respectant notre Code de procédure pénale, seule manière patente, objective et respectueuse de le faire, dans les cas de suspicion d'abus divers.



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