top of page
Rechercher
Photo du rédacteurCoparentalité Responsable

Pour un TRIBUNAL DE LA FAMILLE en Valais

Demain, 13 novembre 2024, exactement une semaine avant la Journée internationale des droits de l’enfant, Le Centre (les député-e-s Kamy May, Christelle Farquet, Nathan Bender et Nicolas Bonvin) présente la motion « Pour une égalité de traitement entre toutes les enfants » (2024.03.043).


Celle-ci demande essentiellement la mise sur pied d’un Tribunal de la famille, sous forme de Cours de droit de la famille, telles que prévues par la Constituante valaisanne, donc relatives à une proposition dont l’élaboration a pris plusieurs années.


On peut craindre de nouveaux ralentissements passagers dans le traitement des dossiers, qui viennent d’avoir lieu lors de la cantonalisation des Autorités de Protection de l’Enfant et de l’Adulte (APEA), ce qui est le corollaire de toute modification organisationnelle. Cependant, nous sommes certains que, à terme, le Valais se dotera de Cours de droit de la famille, qui mettront notamment fin à la pratique d’un autre âge, représentée par la différence de traitement d’attribution de la garde et de tout ce qui est relatif aux enfants lors d’une séparation, que les parents aient été mariés ou non.


Le Valais a été précurseur dans la mise en œuvre de projets-pilote pour le recours au Consensus parental, application de la pratique de Cochem, dont nous sommes persuadés qu’il est la meilleure prise en charge possible des divorces. Dans cette pratique interdisciplinaire, le juge est le grand chef d’orchestre, qui coordonne les interventions de chacun et permet de hâter les procédures.


Selon toutes les informations dont nous disposons, l’application du Consensus parental, en Valais comme ailleurs, est un succès, le meilleur outil possible pour éviter les séparations à haut conflit.


Au-delà de la forme, il y a lieu de ne pas oublier le fond, impérativement constitué d’une formation pointue de toutes celles et tous ceux qui ont la charge de décider du sort des enfants lors d’une séparation.


LE FUTUR, C’EST MAINTENANT !


Chères Députées, chers Députés, le Mouvement Suisse pour la Coparentalité Responsable vous recommande d’adopter la motion « Pour une égalité de traitement entre tous les enfants. »


Isabelle Vuistiner-Zuber, Présidente

 

 


FÜR FAMILIEN GERICHTE IM FAMILIENRECHT IM WALLIS


Morgen, 13. November 2024, genau eine Woche vor dem Internationalen Tag der Rechte des Kindes, legt das Zentrum (Kamy May, Christelle Farquet, Nathan Bender und Nicolas Bonvin) den Antrag «Für eine Gleichbehandlung aller Kinder» vor (2024.03.043).


Es handelt sich um die Einrichtung eines Familiengerichts in Form von Familiengerichten, wie sie in der neuen Walliser Verfassung vorgesehen wurden und sich somit auf einen Vorschlag beziehen, dessen Ausarbeitung mehrere Jahre gedauert hat.


Es besteht die Gefahr, dass sich die Bearbeitung der Fälle vorübergehend weiter verlangsamt, was schon im Jahr 2023 mit dem der Kantonalisierung der Kindes- und Erwachsenenschutzbehörden (KESB) geschehen ist, was eine Folge jeder organisatorischen Änderung ist. Wir sind jedoch davon überzeugt, dass das Wallis sich langfristig mit Familienrechtskursen ausstatten wird, die unter anderem die Praxis aus einem anderen Zeitalter der Ungleichbehandlung bei der Zuteilung des Sorgerechts  beenden werden. Vor allem, alles, was mit den Kindern im Fall einer Trennung zu tun hat, sollte unabhängig davon sein, ob die Eltern verheiratet waren oder nicht.


Das Wallis war ein Vorreiter bei der Umsetzung von Pilotprojekten für die Anwendung des Elternkonsenses, eine Anwendung der Cochem-Praxis, von der wir überzeugt sind, dass sie die bestmögliche Betreuung von Scheidungen darstellt. In dieser interdisziplinären Praxis ist der Richter der große Dirigent, der die Interventionen aller koordiniert und dies ermöglicht, die Gerichtsverfahren zu beschleunigen.


Wir sind informiert, dass die Anwendung des Elterlichen Konsenses im Wallis, wie auch anderswo, erfolgreich wird und das bestmögliche Instrument zur Vermeidung von Trennung mit hohem Konflikt ist.


Über die Form hinaus darf der Inhalt nicht vergessen werden, der unbedingt aus einer spezifischen Ausbildung aller diejenigen besteht, die im Rahmen einer Trennung für das Schicksal der Kinder verantwortlich sind.


DIE ZUKUNFT GESCHIEHT HEUTE !


Geschätzte Abgeordneten, die Schweizerische Bewegung für eine Verantwortungsvolle Co-parenting (SVBC) empfiehlt die Annahme des Antrags «Für eine Gleichbehandlung aller Kinder».


Isabelle Vuistiner-Zuber, Präsidentin

65 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Комментарии


bottom of page