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Un enfant a deux parents. Toujours.

Photo du rédacteur: Coparentalité ResponsableCoparentalité Responsable

Ce qui, dans cette situation, est méprisé, c'est non seulement la loi, mais le lien parent - enfant et, ici, particulièrement les droits du père et ceux de l'enfant.


Ce père est non seulement exclu de la vie de sa fille, mais exclu d'une partie des procédures, par une APEA entièrement féminine, par une intervenante de l'OPE qui outrepasse ses fonctions en agissant comme si c'était elle, la mère.


Alors, comme on refuse de changer d'IPE, on nomme un avocat pour représenter l'enfant. Enfin, l'APEA nomme un avocat. La notion de conflit d'intérêts, déjà entendu parler ? Apparemment pas.


Il n'y a aucune humanité dans cette procédure, dans ce genre de procédure. Une petite fille qui vit dans un foyer à 10 minutes de chez elle et qui demande qu'on la laisse rentrer chez ses parents. Foyer bientraitant où une adolescente s'est récemment suicidée...


Une APEA qui se délecte à compliquer les choses et qui donc recourt à la procédure la plus lourde qui soit, moult expertises psy à l'appui, dans une famille qui, soulignons-le, n'a jamais connu d'abus intra-familiaux et dans laquelle les enfants s'épanouissaient.


S'il est si difficile d'émouvoir le grand public avec ce genre de situations, et, partant, les politiques, c'est parce que pour toute personne lambda, si un enfant est placé, c'est que des mauvais traitements existent. Or, tout à fait régulièrement, ce n'est pas le cas. Et c'est si scandaleux, si inhumain qu'on en perd ses mots. L'APEA, elle, rien ne l'arrête. Personne ne supervise son action. Aucun compte à rendre à personne.


Nous sommes en Suisse, en 2022, et ça suffit.


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